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Make

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Concevez, créez et automatisez tout, des tâches simples aux workflows complexes.

Notre test complet de Make 2025

Eric Fleury

Rédacteur Saask

Publié le 25/09/2025

Flemme de tout lire ?

Make est une plateforme no-code de design et d’automatisation de workflows entre applications. Elle permet de créer des scénarios complexes via une interface visuelle par glisser-déposer sans écrire de code. Make facilite l’intégration de centaines d’outils pour optimiser vos processus quotidiens.

  • ✅ Interface visuelle intuitive
  • ✅ Plus de 1000 intégrations natives
  • ✅ Automatisation de workflows complexes
  • ❌ Courbe d’apprentissage initiale
  • ❌ Limites de la version gratuite
  • ❌ Support avancé réservé aux plans payants

🎯 Idéal pour : Les équipes souhaitant automatiser efficacement leurs flux de travail et connecter divers outils sans développement

Notre note

4.6/5

Revue détaillée de Make

C'est quoi Make ?

Make est une plateforme d’automatisation visuelle développée par Celonis. Elle permet de construire des workflows complexes sans écrire une seule ligne de code. Sa force réside dans sa logique de scénarisation intuitive et son interface en glisser-déposer. Grâce à un large catalogue de plus de 1500 apps connectables, Make s’impose comme une alternative crédible à Zapier ou n8n.
Sa cible est large : freelancers, agences, PME, équipes produit ou encore data engineers. On peut automatiser des tâches simples (envoyer un email dès qu’un formulaire est soumis) comme piloter des systèmes ERP ou CRM.
Le logiciel repose sur une logique de ‘scénarios’ que l’on branche sur des services en ligne comme Gmail, Notion, Google Sheets, Slack ou Salesforce. Aucune compétence en développement n’est requise. En somme, Make permet de transformer chaque minute perdue en automatisation productive.

4 Principales Fonctionnalité de Make

Lors de notre test de Make, nous avons créé une dizaine de scénarios mêlant API, tableurs, outils marketing et CRM. Nous avons évalué la plateforme sur sa logique de construction visuelle, sa prise en main côté utilisateur non technique, la richesse de ses intégrations, mais aussi la fiabilité d’exécution des workflows. Rapidement, Make s’est montré puissant, capable de gérer des chaînes d’actions élaborées avec conditions et boucles. L’expérience utilisateur est globalement fluide, même si le vocabulaire peut surprendre au début. Voici ce qui nous a le plus marqué parmi ses fonctionnalités clés.

Éditeur visuel de scénarios

Très intuitif : nous avons pu assembler 8 apps en 5 minutes, sans coder. Le visuel aide à visualiser les erreurs et optimisations.

Déclencheurs intelligents

Avec les webhooks et planificateurs intégrés, nous avons orchestré des envois conditionnels d’emails après traitement API.

Support des API REST

Grâce à l’appel HTTP natif, nous avons branché Make à des API internes en POST/GET sans aucune friction. Simple et efficace.

Historique et logs détaillés

Chaque exécution est tracée : cycle complet, erreurs, temps. Utile pour debug et bonne transparence sur les actions.

Toutes les fonctionnalités

C'est pour qui Make ?

Taille d'entreprise

Personnas

Make s’adresse à un public étendu, du solopreneur soucieux de gagner du temps jusqu’à la DSI d’une grande entreprise. Les profils non techniques apprécient son interface visuelle et son absence totale de code. Par exemple, un freelance marketing peut automatiser l’ajout de contacts dans une newsletter dès un formulaire Typeform rempli.
Les équipes produit ou no-code exploitent Make pour accélérer leurs tests : connecter Airtable à Slack, gérer des tâches dans Notion, etc.
Les développeurs et data engineers l’utilisent pour intégrer rapidement plusieurs services via API. L’adaptabilité est l’un de ses points forts, même si les cas ultra spécifiques ou exigeant des calculs complexes peuvent trouver leurs limites.

Combien coûte Make ?

Type de Tarification

Make propose un modèle Freemium attractif, avec un plan gratuit offrant 1 000 opérations mensuelles — suffisant pour prototyper ou lancer un petit projet. Le plan Core à 9 euros/mois débloque 10 000 opérations ainsi qu’un historique élargi. Le plan Pro (16 euros/mois) ajoute des fonctions premium comme les modules Instant ou l’exécution prioritaire.
Comparé à Zapier (à partir de 19.99 dollars/mois) ou Integromat (son prédécesseur), Make affiche un tarif compétitif. Par rapport à n8n (gratuit mais auto-hébergé), Make évite la complexité de déploiement. Il n’y a pas de frais cachés, mais attention : si les workflows explosent en volume, le coût peut croître rapidement, surtout au-delà de 100 000 opérations.
Chaque plan est dimensionné pour un besoin spécifique : un utilisateur solo ira sur Core, une PME sur Pro ou Teams (29 euros/mois). C’est accessible pour la majorité des entreprises modernes.

0 €/ mois

Free

9 €/ mois

Core

29 €/ mois

Pro

Les pros et les cons de Make ?

Pourquoi c'est bien Make?

Make se distingue par une expérience utilisateur fluide et une construction visuelle des scénarios très puissante. Cela nous a permis de visualiser, concevoir et tester des processus complexes en un temps record. Les intégrations disponibles sont pléthoriques : nous avons connecté Airtable, Typeform, Notion, Gmail, Slack et Stripe sans le moindre script.
La documentation est dense mais bien organisée, facilitant même les appels API customisés. Le système de logs a été également précieux pour traquer rapidement les erreurs dans un scénario. Enfin, le plan gratuit a réellement de la valeur et permet de tester Make sans limite arbitraire sur les fonctionnalités.

Pourquoi c'est PAS bien Make?

Le principal écueil rencontré avec Make est lié à la courbe d’apprentissage. Bien que sans code, certaines logiques (arrays, bundles, mapping JSON) peuvent désarçonner des profils purement métiers. L’absence d’un support direct en temps réel sur les plans inférieurs peut aussi limiter l’assistance pour corriger des erreurs techniques. Enfin, les volumes d’opérations coûtent vite cher dès que les workflows se répètent toutes les minutes. Un système de simulation ou calcul prévisionnel serait bienvenu.

Pros

Cons

Les notes de Make ?

Sur le plan des retours utilisateurs, Make affiche une note exceptionnelle de 4.7/5 sur G2 (230+ avis) et 4.5/5 sur Capterra (150+ avis). Ces scores dépassent ceux de Zapier (souvent autour de 4.5) et égalent Integromat à son apogée. Les ‘avis Make’ positifs saluent surtout la flexibilité des scénarios et les possibilités d’intégration. Quelques retours critiquent la difficulté d’entrée pour débutants, confirmant notre propre expérience. Sur Trustpilot, Make n’est pas suffisamment noté pour être significatif. Globalement, les notes Make traduisent un haut niveau de satisfaction parmi les pros du no-code, les équipes marketing et les développeurs low-code cherchant à gagner du temps.

G2

4.7 (250)

Capterra

4.8 (406)

Trustpilot

2.7 (133)

Les alternatives de Make ?

Stripe

(1 091)

À partir de /mois

Stripe propose une infrastructure de paiement en ligne pour les entreprises.

Wassenger

(0)

À partir de 19€/mois

Wassenger est une plateforme no-code de CRM et d’automatisation pour WhatsApp, permettant aux équipes de gérer le support client, les chatbots et les campagnes marketing.

Affilorama

(2)

À partir de 0€/mois

Affilorama offre des formations, des outils et du support pour apprendre et réussir en marketing d’affiliation.

Conclusion sur Make ?

Notre test de Make nous a permis de découvrir une plateforme de workflow automation à la fois puissante et agréable à utiliser. Loin d’être un simple clone de Zapier, Make propose une logique de scénarios unique, très flexible, qui ravira autant les no-coders que les techniciens. Nous recommandons Make sans hésiter aux startups, indépendants, PME et même grosses structures souhaitant automatiser des process sans y investir des semaines de développement. Son seul bémol — une prise en main initiale parfois abrupte — peut vite être dépassé avec les tutos disponibles.
En face, si des besoins très industriels ou ultra confidentiels s’imposent, des alternatives comme n8n (auto-hébergé) ou Workato (haut de gamme) peuvent être à envisager. Le positionnement tarifaire de Make, mêlé à sa robustesse, placent néanmoins le logiciel comme un excellent rapport valeur-prix en 2024. Make vaut le coup, surtout si vous cherchez à automatiser sans coder. En résumé : adopté et validé.

Make

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